falaise-de-rocamadour


Découverte d’un complexe funéraire égyptien
en Quercy, département du Lot en France
 
ÉTUDE
ARCHÉOLOGIQUE
 
Sanctuaire
de
Rocamadour
        Introduction
    I  Temple de l’élu
   II  Les Pyramides
  III  La Grande Pyramide
  IV  Mort de l’enfant Roi
   V  Ancien ermitage
  VI  Temple égyptien
  VII  Déesse du temple
 VIII  Rocher vu des parvis
  IX  Vierge Noire
   X  Rocher des divinités
  XI  Entrée du sanctuaire

 
   Patrimoine
   archéologique
   et historique
   de Rocamadour
 
 
 
Il y a des silences coupables et
des silences troublants
 
 
 Mairie de Rocamadour
 





Dépôts enregistrés à l’Académie des Sciences à Paris
les 28 février et 27 novembre 2012.
Copie du dossier adressé au Ministre de la Culture et de la Communication Aurélie Filippetti
le 25 novembre 2012

Découverte archéologique dans le Lot

Vestiges d’un complexe funéraire égyptien
au cœur de la cité médiévale de Rocamadour.

IV - Mort de l’enfant Royal et Divin
1 - Les circonstances de la mort du successeur au trône
Nous avons vu au chapitre III, une représentation qui signifiait la mort pour notre jeune successeur au trône. Ce que nous ignorons en revanche, ce sont les circonstances de sa mort. À quel moment de son voyage en mer la tragédie aurait eu lieu ? Quelle en était la nature ? Et pour quelle raison ?


Copyright © Charly Senet 2012 - Photo 35: Entre la Grande Pyramide et la Maison à Marie

Pour répondre à ces questions, nous devons porter notre regard sur une représentation qui apparaît sur le versant septentrional de la grande pyramide et à la hauteur de la tête du bélier (photo 35).

1.1 La tête d’un monstre [20]


Copyright © Charly Senet 2012 - Photo 36: Tête monstrueuse

     
Accaparé par la sale besogne entreprise par l’envahisseur dans son pays, le dieu des égyptiens assiste impuissant à l’agression du jeune lion. Nous voyons effectivement, sur la photo 36, le jeune lion se faire happer par une tête monstrueuse [20], mais dont l’apparence humaine n’échappera à personne.


Copyright © Charly Senet 2012 - Ph36a: monstre

Notons que quand la lionne saisit et emporte sa progéniture dans sa gueule, elle prend soin de laisser la tête de son petit penchée sur le côté pour éviter de le blesser, alors que la tête représentée sur la falaise à Rocamadour, n’a pas cette délicatesse et montre au contraire beaucoup plus d’agressivité que d’affectivité.

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Découverte archéologique dans le Lot

Vestiges d’un complexe funéraire égyptien
au cœur de la cité médiévale de Rocamadour.

1.2 Indices sur les circonstances de la mort du jeune lion

Premier indice: (lieu de la tragédie)
Cette nouvelle représentation qui surgit à la suite de la grande pyramide, donc après le voyage en mer suggéré par la représentation de l’embarcation, laisse penser que le drame s’est produit sur des rivages. Etaient-ils arrivés sur les côtes françaises ? Rien ne nous permet de le penser pour l’instant.

Deuxième indice: (circonstances du drame et conséquence sur la suite du voyage)
Il ne fait plus aucun doute que l’enfant royal et divin a été arraché à sa mère dans des circonstances horribles et brutales qui ne sont pas à imputer aux conditions difficiles de navigation en mer. Ce revirement de situation marque vraisemblablement, pour les survivants, la fin de leur périple en mer et le début de leur progression sur terre.

Troisième indice: (signes particuliers de l’agresseur)
En observant plus attentivement la tête de l’agresseur (photo 37), nous obtenons des informations intéressantes concernant le signalement de l’agresseur.


Copyright © Charly Senet 2012 - Photo 37: Le front de la tête de l’agresseur ceint d’une couronne


Bien que la sculpture ait été victime de dommages regrettables, nous pouvons remarquer que le front était ceint d’une couronne qui retombe sur le côté droit à la hauteur de l’œil de la tête du monstre en prenant l’aspect d’un ruban en forme de serpent [21]. Une lanière personnifiée selon toute vraisemblance.

En vue rapprochée, nous pouvons observer que l’extrémité s’apparente plus à la forme appartenant à l’espèce humaine qu’à la famille des reptiles (photo 38). Ceci démontre une fois de plus, s’il en était besoin, que le mal est une invention de l’homme qui prend un malin plaisir à détruire.

  

  
Copyright © Charly Senet 2012 - Photo 38: extrémité lanière


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Découverte archéologique dans le Lot

Vestiges d’un complexe funéraire égyptien
au cœur de la cité médiévale de Rocamadour.

2 - Disparition d’indices
Nous pouvons apercevoir sur la photo 39, que la tête de l’agresseur du jeune lion [20], jouxte avec une représentation [22], dont les dommages naturels et humains ont rendu difficile l’identification.

L’aspect extérieur a souffert, mais on peut encore voir certains reliefs qui feront l’objet d’une étude ultérieure. Remarquons dans un premier temps, l’alignement parfait des représentations [22 et 23] qui se superposent en cascade selon une ligne parallèle à la pente du versant nord de la grande pyramide.


Copyright © Charly Senet 2012 - Photo 39: Représentations en casacade

Signalons que les inscriptions qui étaient sculptées en relief sur la face méridionale de la représentation [22] ont été complètement effacées comme nous pouvons le voir avec la photo 41.


Copyright © Charly Senet 2012 - Photo 41: Inscriptions en façade effaçées

Les méthodes et les moyens techniques mis à la disposition des scientifiques de nos jours permettent d’envisager la possibilité d’en révéler quelques-unes.

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Vestiges d’un complexe funéraire égyptien
au cœur de la cité médiévale de Rocamadour.

3 - L’Homme oiseau
Tourné vers la grande pyramide, l’homme oiseau [24] (photo 44) représenté perché au sommet du massif qui a été défiguré, mérite toute notre attention. Sa présence à Rocamadour témoigne de l’érudition des hommes qui occupaient le rocher et d’une grande maîtrise des textes sacrés de l’Égypte antique.


Copyright © Charly Senet 2012 - Photo 44: Homme oiseau

L’oiseau à tête humaine sculpté sur la falaise à Rocamadour (photo 44) est une représentation de l’oiseau-Bâ, l’âme dans la mythologie égyptienne. C’est un témoignage d’une rareté exceptionnelle.

4 - L’Oiseau-Bâ
Le Bâ est un concept religieux qui s’applique aux hommes. La représentation de l’âme sous l’aspect d’un corps d’oiseau interprète la notion de l’oiseau s’élevant dans les cieux vers les dieux pour aider l’âme du défunt à gagner l’au-delà.
 
En observant de plus près la tête de l’oiseau-Bâ, on découvre à l’arrière de son œil, au niveau de la tempe, le visage d’un enfant sculpté dans la roche. Ce qui porte à croire que l’âme qui monte vers le royaume des cieux est indubitablement celle de l’enfant assasiné en arrivant sur les côtes européennes.
 
 
5 - Bâ de l’enfant roi


Copyright © Charly Senet 2012 - P45a: Bâ de l’enfant roi



Ci-contre à droite, une représentation de l’oiseau bâ, dans le temple de la déesse Hathor à Dendérah situé au nord de Louxor.
     


Copyright © Charly Senet 2012 - Photo 45: Oiseau-Bâ


Copyright © Charly Senet 2012 - Photo 45b:
Oiseau-Bâ Temple Dendérah

        
Auteur:
Charly SENET
            


Dépôts enregistrés à l’Académie des Sciences à Paris
les 28 février et 27 novembre 2012


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Charly Senet Auteur du livre Angélus
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Dépôt:  Étude Notariale 2010 - Académie des Sciences Paris 2011, 2012 et 2014